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 Bienvenue sur le site de Jean Caille
   (1913-2016)

Dédié à tous les prisonniers de guerre 

 

saison

Bonjour, c'est mon père René Saison, né le 02 04 1916 a Burbure ( PDC). Appelé au S.M. en 1937 sur la ligne Maginot. Fait prisonnier en 1940, Donc il c'est évadé d'Allemagne, et revenue en France, puis capturé de nouveau , emprisonné a la prison de Loos de Lille, D'ou une nouvelle évasion, repris de nouveau en 1941,
déporté en Allemagne sur le site de Dora. Nouvelle évasion et retour en France. Repris une nouvelle fois et mis sur les travaux du mur de l'atlantique, D'ou il s'échappera de nouveau. Repris de nouveau et déporté au travaux du blockaus d'Eperlecques, Là encore il s'évadera lors d'un bombardement en 1943 sur le site.Mais repris toujours par la gendarmerie française et remis au autorité SS Allemande. Et il s'évadera de nouveau lors du bombardement en 1944, et ne sera jamais repris, pour rejoindre ma mère qui avait été déplacée, de Calais dans la Nièvre. Là ou la gendarmerie comme ma mère m' dit ils étaient français..... Donc je voudrais vous dire que je n'ai eu connaissance de ses choses de la vie , exactement a 21 ans par une personne qui dans la nouvelle entreprise ou j'avais été embauché, avait connu mon père et c'était évadé d'Allemagne avec lui, et qui lui avait été d'un grand secours tout au long de leurs périples de plusieurs mois... Cet homme s'appelé Eugene Merlin . Compagnon d'évasion de mon père ( d' Allemagne et de la prison de Loos ) mais lui na jamais été repris.. il c'es caché jusque la fin de la guerre..hors de sa famille

odile

Merci pour ce beau livre .
Je viens de le lire en cinq jours , tellement j'ai été submergée par l'émotion forte qui s'en dégage .
Certaines nuits , j 'ai même eu du mal à m'endormir . J'ai appris beaucoup de choses sur la vie des prisonniers français en Allemagne où ailleurs . Les différentes batailles m'ont marquées par leur cruauté .
Merci encore , si vous le pouvez , continuez à écrire , vous le faites merveilleusement bien .
Mon mari fait des recherches généalogiques sur son grand-père qui a fait la guerre de 14 /18 , et qui , lui aussi à été fait prisonnier . ça nous fait réfléchir encore plus .
Merci encore .
Odile ( du Finistère )

Guy.

Bonjour,
J'ai lu ce livre en 4 jours. A travers ce dernier, j'ai pu avoir une idée ce que mon grand père paternel a vécu.
Voua avez su faire un témoignage exceptionnel de votre père .
Un grand respect pour cet homme, il peut être fière de sa fille.
Félicitations à vous pour votre premier livre.

François LE PABIC

Bonjour

Mon père Joseph Le Baron, du 115e RI de Laval, a été fait prisonnier le 16 juin 40 à Piney dans l'Aube puis transféré au stalag VB d'Ostdorf près de Balingen. La proximité avec la Suisse (5nuits de marche) lui a permis de quitter l'Allemagne en mars 43 et de connaître plusieurs camps d'évadés en Suisse un peu plus "humains" ... pas encore la liberté. Aussi, dès la libération de la Haute Savoie, il quitte ce pays sans autorisation et sans regret pour reprendre la lutte dans la Résistance en Savoie. Au cours de ces cinq années, il a côtoyé de nombreux camarades et plusieurs d'entre eux lui ont écrit pendant deux ans. Mon père a précieusement conservé ces lettres dans lesquelles ils racontent leurs souvenirs de guerre mais qui sont surtout un témoignage émouvant et sans filtre de leur retour difficile en famille, au travail à cause de leur état de santé, des difficultés de ravitaillement et du décalage avec ceux qui sont restés au pays...Ils ont l'impression de ne plus avoir leur place dans un pays pour lequel ils ont abandonné cinq ans de leur vie.
En ce moment, j'écris un livre pour la famille et les amis sur tous ces témoignages qui nous éclairent sur une période peu connue et c'est en me documentant sur la vie dans les stalags que j'ai trouvé et apprécié votre site très documenté qui m'encourage à continuer d'écrire pour que revive la mémoire de tous ces Prisonniers de guerre. J'espère lire rapidement votre livre.
Félicitations pour ce travail et merci

Danielle Le Baron (Morbihan)

JClaudeC

Permettre la transmission de ces moments de "vie" qu'auront subi nos parents est important. Merci de nous permettre de les lire, et cela sans voyeurisme.
Si tous n'ont pu nous rapporter les difficultés qu'ils avaient enfoui dans leur mémoire, des lectures comme la vôtre permet de les raccorder à ce que j'ai pu entendre.
Notre père n'a jamais su nous rapporter son temps de détention, PG dès les premiers jours du conflit.
Ce n'est que seulement de notre mère, les troupes allemandes avaient envahi l'Ukraine dès 1941, avait elle-même été déportée pour le travail obligatoire depuis Kiev en 1942, qui m'aura confié quelques bribes de ces années passées loin des leurs, dans le froid et de nourriture pas toujours suffisante. Elle aura gardé cela en elle plusieurs décennies.
Durant notre jeune âge, elle n'aura eu de cesse, avec notre père, de nous élever sans nous perturber de cette douleur injustement vécue.
J'avais alors atteint la soixantaine, quand elle avait sans doute senti le besoin de se décharger de ce poids si longtemps porté en elle.
Pour compléter ces bribes entendues, je recueille d'autres informations, sauf que le stalag 2B n'est pas aussi riche que je pourrais l'espérer. Notamment sur les kommandos détachés depuis le stalag 2B.
Maintenant ils ne sont plus là, mais ne je puis abandonner, pour leur mémoire.
Cordialement. JC

Evelyne

Bonjour Sophie,

Cela fait quelques semaines que j'ai terminé votre livre. J'ai eu plaisir à le lire et à suivre le parcours de vie de votre père. Le récit est fluide et bien mené.

Je comprends qu'il devait être difficile de vivre ces moments de guerre et ils ont été nombreux à subir ces évènements et à s'adapter comme ils ont pu.

C'est un bel hommage à votre père et autres témoins de cette époque.

Nous avons des enseignements à tirer de ces vies, de ces êtres respectueux des humains.

Merci et bravo pour le temps que vous avez passer à retranscrire tout cela, pour votre qualité d'écriture et de narratrice.

Bien amicalement.

MarcD

Commentaires sur l’evacuation des camps per les soviétiques….
Mon père, Marcel, sergent belge chasseur ardennais fut prisonnier prisonnier le 10 1940 et envoyé dans différents camps de plus en plus répressif suite à des actes de résistance pendant son emprisonnement … il finit dans un sous camp d’Auschwitz avec 139 autres belges Souffrant de tuberculose lors de la liberation du complexe d’Auschwitz par les sovi,etiques, il a été évacué sur Odessa. Il m’a toujours dit avoir reçu les meilleurs soins médicaux dans les hopitaux soviétiques. Il est vrai qu’étant en codétention avec des russes pendant 2 ans, il était devenu parfait bilingue Russe et s’exprimait couramment dans cette langue … ce qui lui a peut être donné un traitement privilégié par les infirmières. Il n’arrivera en Belgique qu’en 1946 : bateau hopital Odessa-Istanbul-naples-marseilles puis train sanitaire vers la Belgique puis 3 ans de sana en suisse et démob en 1949 soit 11 ans de service pour un jeune appelé de 1938.Sa longue expérience, plus de 3 ans, avec les soviétiques lui a toujours fait dire que ce qu’on entendait à l’ouest était de la pure propagande anti-soviétique et il n’était pas lui même communiste. Mais toute expérience est personnelle.

Annie

Avant de commencer ma lecture je suis venue sur ce site pour mettre un visage sur Jean. J'ai apprécié cette histoire racontée avec beaucoup de respect et de pudeur. Pour un premier livre c'est réussi. Beaucoup de recherches. Bravo.

Dany

Votre livre retrace le vécu de votre papa avec beaucoup d'humanité. J'étais toujours impatiente de reprendre ma lecture. j'ai ainsi pu mieux imaginer la vie de mon grand-père, Pierre Chabaud prisonnier de guerre de juin 1940 à mai 1945 dans le stalag XVIIB.
Ces hommes dont l'histoire est largement méconnue, ont perdu 5 ans de liberté et ils ont été souvent maltraités et humiliés. Mais ils étaient associés à la honte de la défaite à la "Bataille de France" et leur sacrifice est souvent passé inaperçu.
Une pandémie mondiale plus de 70 ans après, empêche le public de se rendre à l'exposition "Comme en 40..." qui aurait permis entre autre de sortir de l'oubli cette période et la vie de ces hommes. "Les oubliés de 39-45" semblent vraiment voués à ne pas recevoir les hommages de l'histoire.
Le témoignage de votre papa a été important pour moi.

Christian EICHENLAUB

Bonjour Sophie, Merveilleux ouvrage qui laisse une trace indélébile d'un passé qui ne reviendra plus. Belle leçon d'histoire, celle que certains manuels taisent malheureusement trop souvent. Voir dans votre vidéo des larmes de joie, peut-être de regrets aussi, couler sur les joues de ce grand-père d'un âge avancé est la preuve de l'Amour que vous cultivez entre vous. En sa mémoire continuez à marcher vers sa lumière...

jean pierre marechal

super site !. mon père Théo Maréchal 151 éme RI a été fait prisonnier en 1940 a Neufchatel sur Aisne. il m'a raconté avec bien du mal comment il était équipé: bandes molletières,fusil Berthier 07.15,& l'incompétence de certains chefs...qui se croyait toujours a la 1 ère G M...capturé & dirigé vers l'Allemagne a pied quelques fois en véhicules ( rarement ),menés aussi a coups de crosses ,il fallait suivre le rythme. il est revenu très affaibli ,bien qu'il ai travaillé dans une ferme ,grosse journée,mais il s'estimait heureux cela était pire dans les camps.
voila il nous a quitté en 1999, et je pense beaucoup a mes parents dont la vie n'a pas toujours été rose comme beaucoup de gens a cette époque .

Monique Lemaire

Bonjour Sophie
C'est mon mari qui a trouvé votre site ; je suis à l'affut de toutes informations concernant ces prisonniers de guerre dont mon Papa a été ; il n'en parlait pas, à son décès j'ai trouvé quelques notes, sur la débâcle, la retraite etcela s'arrête lorsqu'il est fait prisonnier sur cette phrase "enfin nous allons manger et avoir des chaussures". Je crains bien qu'il ait été très déçu. À nouveau des notes qq années plus tard, une pièce de théâtre avec une partie des dialogues, le travail à la mine, (il était au XIIA sur lequel je ne trouve rien) puis à la fin dans une ferme avec la peur des bombardements, les gardiens qui se sauvent et les prisonniers livrés à eux-mêmes qui cherchent comment rentrer en France. Très beau site, très complet, bien construit. Maintenant il va falloir que lise votre livre. Merci, merci beaucoup. Monique

stival Danielle

je viens de découvrir votre site et la lettre écrite à votre père-
elle est magnifique-
je suis la personne qui a laissé un autre message p)lus généraliste sur le rapatriement des prisonniersv de guerre-
Danielle , 6 mai 2020

valérie

A la parution de votre livre,, je me suis précipitée à la librairie. Je suis très attirée par la période qui concerne la seconde guerre mondiale, d’une part parce que mes quatre grands-parents ont vécu cette guerre et nous l’ont racontée et d’autre part, parce que, comme vous je prépare un livre relatant les destins de mes deux grands-pères.

Toute ma famille est originaire du Berry, de Nemours et du plateau(Ormesson, Arville).

Mon grand-père maternel est fait prisonnier de guerre Français du côté de St Dié et également conduit en Allemagne dès juin 1940 pour rejoindre les stalags et travailler dans les fermes, en Bavière.

Alors lorsque j’ai vu votre livre, c’est d’abord la couverture qui m’a attirée et le sujet. Je l’ai dévoré et l’histoire de votre père aurait pu être celle de l'un de mes grands-pères.

C’est très bien écrit, on ne s’ennuie jamais et on ne voudrait pas qu’il y ait une fin...

Bravo et encore merci pour ce livre que je conserverai toujours.

Gilbert Trompas

Félicitations pour ce super site.
un site indispensable
cordialement

GT

Girel, Jacky

Bonjour,
Félicitations pour ce gros travail de mémoire et de transmission.
De mon côté, je suis en train de terminer le récit de la vie de mon père, prisonnier au stalag VIII C de Sagan (Basse-Silésie). J'ai pu retrouver les descendants, famille ou amis de 7 prisonniers (sur 12) qui composaient l'Arbeitskommando 982 qui travaillait sur un grand domaine agricole de Freystadt petite ville de Silésie à 15 km de l'Oder. Ensemble nous avons essayé de reconstituer la vie de ces prisonniers entre juin 1940 (capture) et 10 mai 1945 (retour en France).
Peut-être, ce commentaire permettra d'établir d'autres contacts?

Martine

J'ai fini votre livre et je peux vous dire qu'il m'a captivé. Même si votre père avait une bonne étoile et s'est retrouvé dans des situations privilégiées, cela nous donne une idée de ce qu'ont pu endurer nos grands pères pendant cette guerre. Bravo pour votre livre, vous avez de la chance d'avoir pu garder tous ces souvenirs de votre père.

Joceline

Comment dire ? Bravo ! J'ai adoré le récit de Jean sous la plume de Sophie. Au fil des pages, on ne peut se détacher de ce témoignage exceptionnel. Ce ne sont pas seulement les détails de ces 5 années qui retiennent l'attention, mais la personnalité touchante de Jean qui transparaît et fait honneur à l'homme qu'il était. Pas étonnant qu'il ait vécu 103 ans. Avec cette force de caractère, les épreuves de la vie rurale, de la captivité puis du retour après ces 5 années ont contribué à forger ce caractère hors norme. Mon père a aussi été prisonnier au stalag VII A près de Munich et il y a beaucoup de similitudes entre le vécu de jean et celui de mon père Robert, à tel point que j'avais l'impression de parcourir l'histoire de mon propre père. Autant dire que l'émotion s'est traduite en larmes à certains moments. J'aimerais vous en parler davantage et vous envoyer des photos. Je suis en train de réunir plein de documents et d'informations en vue d'un pèlerinage sur le site du Stalag en juin prochain. Je vous adresserai ces infos par mail si vous êtes d'accord. Et pour finir, reprenez la plume, car vous avez un sacré talent d'écrivaine. Chapeau ! Amicalement Jocelyne

Michelle

En juin dernier, je vous ai rencontré aux marché aux plantes de Milly la Forêt. j'ai beaucoup aimé votre livre
"Des champs d'or et de plomb". En général je ne lis pas d'ouvrage sur la guerre. Votre écriture m'a enchanté et m'a fait passer d'excellents moments. Je vous en remercie et vous encourage à continuer.
MERCI

Gerard et Ségolène

Mon épouse, puis moi-même avons dévoré votre livre d'abord parce que votre père nous remémore la vie à Dourdan où nous avons vécu 35 ans et à Saint-Cyr où nous avons beaucoup de connaissances. Ce fut une bonne découverte dès les premières pages car je crois que nous vous avons acheté ce livre à Rocamadour du fait qu'il parlait du 151ème RI de Metz d'où nous sommes originaires ainsi que nos familles. Du coup nous avons vécu chaque page en nous rappelant de notre vie ou de celle de nos parents. Seule différence, eux n'étaient pas prisonniers mais ont dû subir le joug allemand et la déportation en étant "Malgré- eux", ce qui revenait au même, même pire pour ceux enrôlés de force en 1942- début 1943 dans l'armée allemande. Toutefois, je ne comprends pas p.526, comment un Vosgien proche d'Epinal (les Vosges n'ont pas été annexées) put être soldat allemand "malgré lui".
Mis à part ce détail historique, toutes nos félicitations pour votre livre. Nous allons en faire de la publicité auprès de nos amis dourdannais avant votre participation au salon du livre de Dourdan. Gérard Ruzié

Alain Lansalot

En effet ! .... ce livre évoque une vie, LA vie , sans artifice .. dans tout son réalisme , sa dureté ... des émotions diverses ... la famille à cette époque.. belle ... j'en ai eu un aperçu dans mon enfance avant que l'époque " moderne " n'en détruise les valeurs au nom , peut être ....de philosophies vaseuses ..Mais alors la guerre !!!! Le vécu de ces guerres !! La débacle !! PITIE !! oui ...pitié plus jamais ça ... dit -on !!... c'est un témoignage vivant et atroce !!! ATROCE !!!

Christian

Des livres comme le vôtre sont vraiment intéressants. Ils racontent la vraie vie des gens normaux dans des circonstances hors du commun mais néanmoins vécues par un grand nombre. Les vrais témoignages sont rares car peu de personnes concernées ont l'idée de raconter ou ne savent pas bien le faire. Et puis au-delà des événements historiques, il y a le contexte du pendant, de l'avant et de l'après et tout cela mérite d'être raconté et partagé. Petit clin d'oeil à Ailly-le-clocher où je suis passé souvent lorsque j'habitais Amiens. J'ai bien connu le notaire mais c'était bien après.

Isabelle Deregnaucourt

Bravo Sophie. Je suis partie en vacances avec ton livre. Je l ai dévoré. J ai aussi appris beaucoup de choses. C est une mine d or pour les historiens, d ailleurs on pourrait même en faire un film car ce coté de la guerre n est pas très connue finalement .
Je suis très fière de toi ! Tu peux continuer, tu as beaucoup de talent ! Bravo.ykj

Joëlle Poirier

Félicitations pour ce livre témoignage très bien écrit.
Je l'ai lu comme un reportage, d'une époque révolue, d'une période (la première partie du XXe Siècle), où des vies ordinaires ont basculé dans l'incommensurable sans l'avoir décidé. La vie de Jean Caille n'était pas écrite pour se retrouver en Autriche, pour user de toute son ingéniosité à survivre et aider ses camarades à survivre et pourtant il a dû s'adapter à un univers complètement étranger, loin, très loin de ses convictions profondes, de son quotidien, de son pays.
C'est un livre nécessaire, qui devrait être lu par les jeunes générations qui ne savent pas à quel point leur vie aujourd'hui est en grande partie dû au sacrifice de leurs ainés.
J'ai aimé le style direct, simple et plaisant et aussi l'humour qui transparaît, malgré tout, pour nous rappeler que l'être humain est capable de se transcender parce que la vie est la plus forte.

Beatrice Lapierre

Formidable, ton livre. Il a accompagné mes vacances. J'ai adoré. On attendrait presque une suite. Tu as du talent. Bravo à toi.

Jiki

Merci pour toutes ces informations et partage. Je reviens de Ziegenhain où je suis partie sur les traces de mon GP fait prisonnier en juin 1940 puis envoyé là. Il n'y resta pas longtemps car pris aussitôt dans le KDO 921 pour travaux forcés agricoles sur Elkerhausen où je suis également allée pour retrouver "sa ferme" et la famille. Voyage très émouvant, ma mère m'accompagnait et a vraiment réalisé ce que son père a vécu. Il n'en n'avait jamais parlé. Mon GP a écrit son journal qui m'a permis de tout retrouvé après une enquête d'un an. Je n'ai pas de photos de lui au camps mais dans la ferme et autres endroits de travail avec qq camarades (ils étaient 23 dans ce KDO)

Elisabeth

Bravo, je me représente ce que ce doit être comme travail et comme recherches…
Ton travail est particulièrement remarquable et surtout extrêmement précieux.

Christian Carpentier

J'ai lu et relu votre livre avec beaucoup de plaisir, à certains passages cartes sous les yeux, pour mieux situer l'ambiance de la situation. J'ai beaucoup aimé la partie historique de la guerre vécue sur le terrain dans une période très ambigüe. J'aurais comme tant d'autres et mon père par exemple, pu être à la place de Jean. Mais j'ai aussi beaucoup aimé la dimension "saga familiale" que vous avez su donner à votre livre, ce qui permet de retrouver une famille sur plusieurs générations, dans la guerre bien sûr, mais aussi avant et après, et même pendant sur le plan sentimental. Autour de cette guerre, (ou d'autres guerres), vous avez bien mis en évidence que la vie des gens, c'était bien autre chose que les événements historiques, qu'il y avait la vie, une vie beaucoup plus intense qu'en temps de paix. Je crois que vous avez parlé d'une suite possible ? Ce serait une excellente idée et vous avez le talent et la matière.

René et Régine Bril

C'est avec un grand intérét et une grande émotion que nous avons pu lire ce livre. Il est tellement bien écrit que l'on se passionne pour la lecture qui nous donne le désarroi de voir comment certains hommes peuvent traiter des étres humains.Heureusement que des familles et d'autres personnes ont bien compris que la solidarité était plus importante que tout.
C'est avec un grand plaisir que si vous écrivez une autre édition nous serions contents de pouvoir poursuivre ces histoires. Et encore merci de l'avoir écrit car cela nous a beaucoup touché.

François Thiébaud

La première partie aux Loges et à Dourdan donne une bonne impression de ce qu'était la vie des habitants de Saint-Cyr au début du XXème siècle; c'est assez incroyable que Jean ait pris le temps de raconter tous ces détails à une période si tardive de sa vie.
Je suis surpris et en même temps très compréhensif du sentiment de colère qui l'animait envers les gouvernements successifs de l'époque qui n'ont pas su éviter la 1ère ni la 2ème guerre à notre pays. Il a vécu ça durement avec la mort de son frère puis sa captivité. Sa colère est un fil rouge du livre.
Pour la 2ème partie relatant les combats de 39-40 puis son séjour en Autriche, j'ai bien aimé aussi car c'est une période et un contexte que je ne connaissais pas. En effet la drôle de guerre a été un échec pour la France et on a tendance à ne pas bien l'enseigner dans les écoles, ce qui est une erreur. Nous étions clairement mal préparés et à tous les niveaux. Ces séjours en Autriche ont dû être éprouvants et on comprend à la lecture que cette longue séparation de sa famille, sans courrier, a dû lui être pesante. quelle surprise de voir quand même que certains prisonniers recevaient du courrier et même des colis de nourriture ! Ma connaissance de ce contexte se limitait à "La vache et le prisonnier".
Il semble se souvenir des périodes agréables et des contextes favorables des périodes difficiles : tant mieux pour lui. Ce livre est très enrichissant, inhabituel pour son contexte eet dont j'ai apprécié la lecture : Merci de l'avoir écrit !

Nicole Carlier

Je viens de finir votre livre. Je précise que j'ai lu énormément de livres dans ma vie, mais le vôtre est réellement magnifique ! Je l'ai tout bonnement dévoré car quand on commence, impossible de le lâcher tant il est plein de rebondissements. On veut toujours savoir si et comment Jean va s'en sortir. Quand je l'ai eu fini, je me suis dit qu'il fallait absolument que je vous félicite pour cette histoire si touchante et si bien racontée.

Maguy Thion

D'abord, je veux vous rendre hommage d'avoir su nous faire partager ce témoignage très poignant et salue les recherches sérieuses que vous avez effectuées. on regrette de ne pas pouvoir connaître jean et j'avoue j'aurais aimé savoir s'il avait pu établir un bon contact avec son fils jean-Pierre. Vous avez su prouver votre talent, si l'impudeur ne vous en empêche j'aimerais lire la suite. Jean avait pratiquement l'âge de mon père.

Jules DAVID VALLEE

Livre très intéressant que je recommande fortement. Félicitations.

Martine

Je viens de finir votre livre. Très bon livre ; plus on le lit plus on veut savoir la fin. A quand le prochain ? Je ne suis pas loin de Dourdan et je connais Ailly et Abbeville car je suis de cette région. Mon père était aussi prisonnier de guerre et ne pouvait pas donner de nouvelles à ses parents. Je vous remercie encore pour ce livre que je vais relire dans quelques mois. Si vous revenez à Dammarie ou à Melun, Merci de me le faire savoir afin d'en parler autour de moi.

Gérard André

C'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai "dévoré" votre roman. Il retrace avec de nombreux détails la vie de ces hommes tués ou faits prisonniers par la seule faute d'un fou malade. Votre papa a fait preuve d'un caractère bien trempé, honnête et rigoureux jusque dans les derniers retranchements de l'horreur. Son sang froid lui a permis de survivre malgré la détermination des Allemands a vouloir éliminer le plus grand nombre d'être humains. Mon père ne parlait pas beaucoup. Lorsque j'étais enfant, il racontait malgré tout quelques passages de ce qu'il avait vécu. "Tous nous marchions en rang peu armés avec des sacs à dos très lourds sur des kilomètres. Arrivés sur la ligne de front, épuisés, sans plus aucune volonté, nous voyions les Allemands arriver à bord des camions et en pleine forme." Comment gagner la guerre dans ces conditions ? Évidemment, fait prisonnier, il est resté 4 ans je crois en prison en Allemagne stalag III D. Il a souffert de malnutrition, mais est resté prudent à la libération en mangeant très peu à la fois et ce pendant plusieurs mois.
Votre histoire est le reflet d'une triste réalité vécue au quotidien par n os parents et par tous ces peuples innocents qui n'avaient rien demandé, qui voulaient simplement vivre leur vie.
Merci et surtout continuez d'écrire.

Yves Laurent

En regardant les commémorations du 06 juin 1944 j’ai pensé qu’il était quand même tant que je démarre la lecture de votre livre. Je dois vous avouer que j’étais un peu hésitant devant près de 550 pages sur le thème de la guerre. Depuis le départ de ma petite femme, je recherche plutôt des thèmes joyeux ou pour le moins optimistes. J’ai la chance de ne pas avoir connu la guerre et je suis donc toujours reconnaissant à ceux qui ont donné leur vie, même si c’était souvent bien malgré eux. Le travail de mémoire est essentiel. Pour leur rendre hommage bien sûr mais aussi pour ne pas oublier que la paix est toujours fragile. Au-delà des messes dominicales, je ne manque jamais les messes en souvenir des anciens combattants, que se soit celle du 11 novembre ou bien encore davantage celle du 08 mai, Car en plus c’est la date anniversaire de mon père né le 08 mai 1940 et décédé en 1998. J’ai donc débuté la lecture en ce jour de commémoration. Un hommage pour l’un des leurs, Jean Caille. Contrairement à mon a priori, je l’ai lu très facilement et l’ai terminé dimanche. J’ai beaucoup aimé. Quel témoignage ! Quelle vie incroyable ! Votre papa était un homme avec de nombreuses qualités ; la force mentale, le courage, l’humanité, l’intelligence et le pragmatisme quelle que soit la situation, la soif de vivre malgré toutes ces épreuves. Quel exemple ! J’aurais aimé le connaitre. Je suis amateur de balades à vélo aux beaux jours et je fais régulièrement une boucle de quarante kilomètres. Je pars de St Chéron via la route de Rambouillet puis St Arnoult et retour vers Ponthévrard, Ste Mesme, Dourdan etc. Je passe donc entre les Loges et Levimpont. La vie est parfois étonnante de mystère !

En deux mots, j’ai adoré et n’ai qu’un seul regret que le livre s’arrête peu de temps après son retour de la guerre. J’imagine que le reste de sa vie était tout aussi passionnant. Pourquoi pas un autre livre ?
Yves Laurent

Elisabeth Scholla

Merci pour cet ouvrage qui m'a totalement bouleversée. Tout au long de ma lecture, quelle délectation. On y apprend la vie dans les campagnes, le courage, l'humanité, la tendresse, la sincérité, l'intégrité et surtout la VIE ! Pour toutes ces lignes merveilleuses, encore "MERCI"
Babeth

brunet giséle

merci de tout mon coeur. Ce livre m'a passionné, il révèle le triste sort qu'a subi votre papa et tant d'autres hommes.
Beaucoup de passages très émouvants.
Merci encore et je tiens au courant mes relations pour qu'elles le lisent.
A bientôt de vous lire. Amicalement. Gisèle

soredion

Magnifique ouvrage digne d'une grande romancière en devenir !! Bravo !!

Mich

Ce site est un excellent moyen de toucher à l'histoire à la fois sur l'aspect politique mais aussi sur le plan humain. La somme d'informations est impressionnante.
Pour ce qui est du livre, il est tout simplement passionnant et à la fin j'ai eu envie de savoir la suite. Une sorte de thriller avec énormément d'humanité mais aussi beaucoup de misère générée par les hommes.
Le héros est attachant et je me suis pris à penser à ce qu'aurait pu être sa vie sans la guerre...comme beaucoup d'autres gens.

Alain Decuq

Bravo !
Magnifique page de vie qui pourrait être scénario de film ou son ébauche. Raconté et écrit dans un français simple et précis sans fioriture. Alain d'Ecommoy

marie

On s'accroche à ce livre d'un bout à l'autre.Une histoire vécue magnifiquement racontée. Très facile à lire, simplement écrit mais tellement vraie...

Elise

Pas particulièrement passionnée par l’Histoire, j’ai lu ce livre dans le but d’y découvrir l’histoire d’un homme et je m’y suis laissée guider avec plaisir. L’écriture est fluide, simple et touchante. Les événements s’enchaînent si bien qu’il est difficile de décrocher. Bref j’ai passé un excellent moment aux côtés de Jean!

Didier

Un livre magnifique et bouleversant qui en dit long sur la vie de nos grands parents. On suit avec un plaisir évident le cours de la vie de Jean, personnage attachant et profondément humain. Bravo !